Flotteur en liège pour bougies à huile

Une telle lampe à huile est prête à l'emploi en un tour de main : On remplit un récipient approprié d'eau et on y verse un doigt d'huile végétale pure. Ensuite, on place une mèche dans un flotteur en liège (qui est toujours réutilisé) et on la place juste sur la surface de l'huile avant d'allumer l'extrémité de la mèche. Avec seulement 10 ml d'huile, la mèche flottante brûle pendant deux heures, soit environ 200 heures avec une bouteille d'un litre d'huile de salade. Il n'y a pratiquement pas de suie, pas d'odeur et seulement la quantité de dioxyde de carbone qui a été fixée dans les plantes lors de leur croissance. Lorsque la mèche est usée, il suffit de la remplacer. Nous proposons des mèches de veilleuse courtes en fil de coton, enrobées de paraffine et de cire d'abeille, ainsi que des flotteurs en liège à trois ailes de Glafey à Nuremberg. Tous deux sont fabriqués depuis 1867 et sont - comme le fabricant l'annonçait encore au début du 20e siècle - "en vente dans tous les meilleurs magasins". Le fait qu'ils existent toujours après plus de 150 ans est une garantie de leur qualité.

La lumière est élémentaire : la création commence déjà par les mots "Que la lumière soit", et la domestication du feu est considérée comme la première performance culturelle de l'humanité. L'une des plus anciennes sources lumineuses artificielles est la lumière à l'huile, qui s'est maintenue jusqu'à nos jours, et pas seulement grâce à sa lumière agréable. Elle est surtout populaire parce qu'elle est facile à fabriquer, quasiment avec les moyens du bord. Un récipient approprié pour l'huile se trouve sous diverses formes dans le stock domestique, car en fin de compte, tout petit verre résistant à la chaleur convient, qui peut en outre servir à nouveau à sa fonction initiale dans la cuisine après avoir été utilisé comme récipient pour la lumière (et lavé ensuite). Le combustible sous forme d'huile végétale est également disponible. Contrairement aux huiles pour lampes à base de pétrole, celle-ci n'est pas seulement bon marché et non toxique, elle est également très sûre à utiliser, car elle ne brûle pas sans mèche supplémentaire. Ainsi, même si une lampe à huile alimentée par cette huile est renversée, elle ne cause aucun dommage (à part une tache de graisse).

Glafey, à Nuremberg, est un expert reconnu dans le domaine des bougies lumineuses (c'est-à-dire des bougies à récipient avec porte-mèche). Grâce à l'expérience d'exploitation remontant à 1808, celles-ci sont parfaitement au point sur le plan fonctionnel : elles brûlent avec peu de suie, sans odeur et développent exactement la quantité de lumière optimale pour une longue durée de combustion. La mèche et la cire à mèche sont également conçues pour répondre à ces exigences.

Lors de la production, on a toujours veillé à utiliser les matières premières de manière efficace et économique. Par exemple, les bougies chauffe-plat, dont la production n'a pas changé depuis des décennies, sont vendues par paquets de 12 avec une seule coupelle en fer blanc, qui peut être remplie à plusieurs reprises - le paquet de recharge est livré sans coupelle. Ou encore avec les flotteurs et mèches en liège produits depuis 1867 (et vendus séparément uniquement chez nous), qui se transforment en véritables lampes à huile faites maison avec un minimum de matériel et de "moyens du bord" (récipient en verre et huile végétale).

Glafey mise en outre sur des suremballages sans plastique en carton et en pergamine. Pour la production, Glafey tire sa chaleur d'une centrale de cogénération, dans laquelle les combustibles utilisés sont transformés en énergie utilisable de manière particulièrement efficace, et son électricité de 3.000 m² de panneaux solaires installés sur le toit de sa propre entreprise - ce qui permet de produire l'une des plus anciennes sources lumineuses dans des conditions ultramodernes.