Jeu de caractères caoutchouc 240 caractères

Il ne faut pas le passer sous silence : Les phrases en lettres, malgré leurs 240 caractères, obligent à une certaine économie de langage (il est possible d'envoyer des messages SMS en quelque sorte analogues). Et en outre, il s'agit de contourner le problème bien connu du jeu de Scrabble par un choix judicieux des mots : Après le sixième "e", la réserve de "e" est épuisée. Des mots comme "Enzensbergerexegetenschelte" de Robert Gernhardt sont donc à éviter. Mais cela présente bien sûr aussi un avantage communicatif : tout doit être résumé en quelques mots, mais en cas d'urgence, il est possible de briller stylistiquement grâce à un choix de synonymes sûr. (En cas d'urgence encore plus grande, l'acquisition d'un autre jeu de types peut d'ailleurs aider).
Le jeu de caractères provient d'un fabricant allemand spécialisé dans les systèmes de signature pour l'industrie.

Dans ce "procédé d'impression", la typographie est encore prédéfinie, mais pas la mise en page, car ces tampons sont des universalistes qui ne se contentent pas de reproduire toujours le même texte ("objectivement et arithmétiquement correct !"), mais qui impriment aussi sans difficulté des formats difficiles (étiquettes). Ils utilisent pour cela la technique Gutenberg des caractères mobiles. Les caractères en caoutchouc de différentes hauteurs de majuscule sont fixés sur la plaque de base nervurée selon la technique de la rainure et de la languette. Le tampon devient ainsi le support de messages toujours nouveaux et à diffuser à de multiples reprises - invitations, remerciements ou même une carte de visite imprimée à la main qui se distingue alors de toutes les variantes brillantes en impression offset comme un corbeau blanc au milieu d'une grande volée d'oiseaux.