Oreiller à trois compartiments

Trois compartiments avec des matières et des poids de remplissage différents s'assemblent pour former un oreiller qui offre un soutien élevé et surtout durable et qui soulage particulièrement la nuque. La chambre centrale, plus ferme et contenant 85% de plumes, constitue le noyau de soutien, tandis que les deux chambres extérieures sont remplies à 90% de duvet et forment une surface d'appui agréablement douce.

Seul le duvet et les plumes d'oiseaux aquatiques comme les canards ou les oies conviennent comme matériau de remplissage pour les couettes. Le duvet des oies adultes a un volume plus important et réchauffe encore plus que le duvet des canards - à l'exception du noble duvet des eiders. Le duvet de la poitrine et du cou possède le plus grand pouvoir gonflant, il est à la fois le plus léger et le plus chaud. Les lits avec un tel garnissage ont un poids extrêmement faible pour une capacité thermique maximale. Le duvet et les plumes utilisés pour ces couettes et oreillers proviennent d'oies de pâturage d'une exploitation familiale en Bavière. Le traitement et la confection ont lieu en Allemagne.

Si l'homme veut dormir au chaud, il opte pour un duvet. En effet, le duvet et les plumes sont inégalés en termes de chaleur, de douceur et de légèreté, pour autant qu'il s'agisse des bons : Seuls le duvet et les plumes d'oiseaux aquatiques tels que les canards et les oies conviennent comme matériau de remplissage pour les couettes. Le duvet d'oie adulte est plus volumineux et encore plus chaud que le duvet de canard, à l'exception du noble duvet d'eider. Le fin duvet d'oie possède un grand pouvoir gonflant - si vous êtes patient, vous pouvez comprimer 2 000 duvets d'oie dans un dé à coudre ; libérés de la pression, ils retrouvent immédiatement leur volume initial. Aucun autre matériau de remplissage ne peut égaler cette capacité de gonflement et donc de rétention et d'échange d'air. L'air présent entre les fines ramifications du duvet assure l'isolation thermique et la chaleur souhaitée. De plus, en circulant, il évacue l'humidité.

Mais le bon duvet d'oie est rare : le plumage d'une oie ne contient que 25 à 40 grammes de duvet, et il en faut entre 500 et 1.000 grammes pour une couette. Certains éleveurs tentent donc d'augmenter le faible rendement en plumant plusieurs fois les animaux et en leur infligeant ainsi des souffrances indescriptibles. Il est donc indispensable de regarder de près l'origine des duvets et des plumes ainsi que les conditions dans lesquelles les oies sont élevées et plumées. Les animaux doivent vivre dans des conditions adaptées à leur espèce - et comme il n'est pas possible de les plumer sans douleur, cela doit se faire après l'abattage. En Bavière, nous avons trouvé une exploitation qui exclut la plumaison à vif et le gavage pour la mue. C'est de cette entreprise que proviennent les plumes et le duvet utilisés pour les couettes et les oreillers de notre assortiment.
Cette ferme avicole familiale élève avant tout des oies pour la production de viande. Les oies y sont nourries avec des céréales que l'exploitation cultive elle-même et auxquelles elle n'ajoute ni stimulateurs de croissance ou hormones, ni antibiotiques ou autres médicaments. Enfin, l'exploitation dispose également d'un abattoir, ce qui permet d'éviter les longs trajets pour les animaux. Ce n'est qu'après l'abattage que les animaux sont plumés et que le duvet et les plumes obtenus sont transformés.